Un des problèmes majeurs auquel Olivier BERNARD a voulu s’attaquer est celui de la presse et son manque de contenus pour faire connaître des voyants, médiums, hypnotiseurs, chamans, guérisseurs ou autres. L’Histoire est jalonnée de nombreux articles, certains relativement farfelus depuis les premières chroniques historiques jusqu’aux quotidiens actuels. Mais d’une façon générale, la presse n’effectue pas de véritables enquêtes sur ces phénomènes. Elle ne les considère pas comme des informations à part entière qui nécessiteraient l’utilisation des mêmes standards d’investigation, mais plutôt comme un « sujet de tromperie » du public tel que des montreurs de lapins sortant d’un chapeau.
C’est contre ces a priori que l’auteur a lutté. Il a cherché à dénoncer avec force les nombreux charlatans qui l’agacent plus que tout et qui font un tort immense aux pratiques faites avec foi et dévotion. Il s’agissait pour Olivier Bernard de compléter l’enquête théorique et souvent farfelue par quelques éclairages concrets.
Cependant, au lieu de dire quels discours/pratiques/savoirs sont marginaux et lesquels ne le sont pas, au lieu de qualifier ces disciplines de « croyances », Les portes de l’esprit propose de décrire les façons dont les différents acteurs engagés dans des controverses sur ces "Para-Sciences" non seulement discutent ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas mais redéfinissent aussi et sans cesse les critères de la preuve.
Lu par le comité de direction de l’Institut psychique international qui constate que l’ouvrage a demandé un important travail de recherche et de documentation rassemblant un certain nombre de phénomènes et expériences avec, disent-ils, une qualité évidente, l’auteur a voulu offrir aux initiés ou aux curieux un voyage aux confins de nos croyances les plus dures avec l’appui de la médecine.
Tout au long de cet ouvrage très riche, il nous dépeint une autre vision des choses par des interviews, des recherches et expériences menées dans le plus grand sérieux, qui font voyager le lecteur dans un monde inconnu devenant palpable pour tous
Olivier Bernard
Après une scolarité classique et peu studieuse dans la banlieue ouest Parisienne, il a été détecté très tôt chez Olivier des dons certains pour le dessin.
C’est ainsi qu’il intègre l’Ecole Supérieure d’Art Moderne (Esam Design) à Paris 16 qu’il quittera prématurément sans aucun diplôme et découvrira une nouvelle passion, la photographie.
Désireux de plonger dans la vie active, il enchainera les petits boulots.
(Vendeur en centre commercial, ambulancier, vendeur en papeterie ou bien plus tard agent de sécurité incendie) il exercera aussi les fonctions d’assistant commercial grands-comptes dans une société gazière, assistant de production dans la publicité, Huissier d’un ministre de la république ou greffier.
Olivier est un rêveur, un curieux à n’en pas douter qui a soif d’apprendre, de savoir et après un service militaire à ses 19 ans pendant la guerre du Golfe il continue de toucher à tout, essaye, expérimente et ne se satisfait pas de ce qui est acquis par tout le monde. Se passionnant pour le phénomène ovni et les distances de notre univers, les phénomènes paranormaux, tous les mystères non résolus ou les contradictions de ce monde, Olivier va s’atteler sinon à les résoudre, à en savoir plus sur tous les sujets.
La curiosité intellectuelle, la liberté de ton et d’esprit caractérisent Olivier Bernard qui est comme Paul Valéry, il pense que le diplôme est l’ennemi mortel de la culture.
Comments are closed.