À l’approche des JO, dans une France sens dessus dessous, des événements climatiques extrêmes s’abattent sur le pays. Plusieurs infrastructures olympiques sont menacées. Le pouvoir politique est pris au dépourvu et cherche des sorties d’urgence.
Dans le même temps, après des années de boycott, les athlètes russes font leur retour sur la scène sportive internationale. L’un d’eux s’est vu confier une mission parallèle : coordonner une série d’attentats.
Du sport, il va y en avoir… mais rassurez-vous, « ça va quand même bien se passer » !
Une écofiction fascinante qui interroge notre clairvoyance et la fragilité de nos liens. Une force d’évocation et des scènes cinématographiques nous plongent dans un univers d’une étonnante crédibilité. Laurent Fayeulle offre ici une partition lumineuse, menée à hauteur de personnages, sur les répercussions des changements climatiques, des innovations technologiques et des évolutions sociétales.
Laurent Fayeulle intègre à la fiction les mutations écologiques et sociales d'un monde où tout va trop vite. Si vous vouliez du sport, avec son roman Les Jeux de Paris n'auront pas lieu, vous n'allez pas être déçu·e·s ! Cette écofiction souriante parle de catastrophes systémiques, met en scène la résilience des territoires et des populations, s'amuse (beaucoup) du pire et prépare (un peu) l'avenir.
Laurent Fayeulle
Laurent Fayeulle est né à 341ppm. Il vit avec sa famille dans la région de Saint-Omer.
Il travaille dans les métiers du livre et de la rédaction, s’illustrant par ailleurs en tant que gonfleur de nuages et testeur de tongs. Compagnon de route des militances écologiques, il se tourne naturellement vers l’écriture pour défendre ses valeurs.
Son projet romanesque ? Raconter le mouvement écologique et social, parler des mutations d’un monde où tout va trop vite et mettre en scène, avec légèreté, l’effondrement qui vient.
Par ses écrits, il valorise le métissage, partage son goût pour le sport, les voyages et la culture populaire. Il veille à mettre en lumière les marges et lutte contre toutes formes de domination. Il se sert par ailleurs de la fiction pour traiter quelques-unes de ses marottes : le rapport au réel et au temps, l’usage et le détournement de la langue, la transmission, le jeu littéraire, l’ironie.
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