« Même les extincteurs rêvent de gloire » est tour à tour drolatique, poétique et noir, à l’image de son antihéros, obscur écrivain sans le sou. Ça pourrait être déprimant, mais c’est un antidépresseur qui n’a rien de générique. Certes, le protagoniste, Arthur, est dans la dèche, mais il est riche des divagations de sa gamine, du soutien sans réserve de sa femme et de sa capacité à poétiser le réel.
« Il aborde l’écriture, le couple, la paternité, le chômage, le rêve de voyage, la quête d’une vie qui serait plus grande et qui l’est par sa poésie. » 20 minutes
« Arthur Zingaro signe un roman mettant en scène son propre personnage vindicatif refusant les diktats de la société normée. » Cédric Lépine, Médiapart
« L’impossible choix de vivre sa vraie vie, la dissolution du couple avec les années ; des passages qui font écho à la « manière » d'Henry Miller dans La Crucifixion en rose. » [Obsküre] Mag
« On a parfois l’étrange sentiment de voir Tony Soprano, face pathétique, qui s’inviterait dans un film des frères Coen... » Le Mag du Ciné
Arthur Zingaro
Arthur Zingaro a été dresseur d’autruches en Afrique de l’Ouest, travailleur social et chômeur asocial. En 2012, il publie « Moi et ce diable de blues », thriller hallucinatoire coécrit avec Richard Tabbi et béni par Dionnet, l’enfant du rock & du métal hurlant. « Même les extincteurs rêvent de gloire » est son premier livre en solo. Quelques artistes comme Marc Duret (Le Grand Bleu, Nikita) ou François R. Cambuzat (Lydia Lunch’s Putan Club) ont dit un poème de cet ouvrage sur YouTube.
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